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Des histoires de victoires et de tragédies pour t'aider dans tes conquêtes


Pendant des années, j'ai pataugé dans les champs ensanglantés de la Gaule, j'ai senti le froid des forêts noires de Germanie et j'ai chevauché le tonnerre discipliné des légions romaines. Aujourd'hui, je me tiens devant vous non pas en tant que chef de guerre, mais en tant que mentor, pour aiguiser votre esprit comme une épée et le tremper pour le rendre aussi solide que le fer des forges du Rhin.


Tu as fait un long chemin, à travers des terrains accidentés et des routes dangereuses, à la recherche de la sagesse du passé pour remporter la victoire dans Travian Kingdoms. Du coup, on se tourne vers l'histoire, où les Gaulois, les Romains et les Germains ont mené des guerres qui ont façonné le monde. Écoute bien, parce que ces histoires cachent les secrets de la conquête.


Le siège d'Alésia (52 av. J.-C.) – La fin ultime


Là se tenait Vercingétorix, provocateur à l'intérieur des murs d'Alésia, tel un lion pris au piège mais toujours indompté. Jules César, le pro de la stratégie, n'a pas foncé sur les murs en utilisant la force brute. Non, il a construit une forteresse autour de la forteresse, un mur de la mort s'étendant sur 26 kilomètres, parsemé de tranchées, de pieux en bois et de fosses cachées.


Les Romains ont même creusé des « trous de loups », des trous cachés avec des pieux pointus pour empaler les ennemis qui ne se doutaient de rien. Une méthode de défense de forteresse un peu flippante mais efficace, un peu comme les structures défensives que tu construis dans Travian Kingdoms pour transformer l'avance de l'ennemi en tombeau.


Finalement, les défenseurs d'Alésia, affamés, se sont rendus. Que ça te serve de leçon : 


Les sièges, ça se gagne avec de la patience, des lignes de ravitaillement et une bonne ingénierie, pas avec des assauts à l'aveuglette.


L'embuscade dans la forêt de Teutoburg (9 après J.-C.) – Les risques de faire confiance à l'aveuglette


Ah, les forêts de Germanie, un endroit où les légions Romain marchaient avec assurance, sans se douter qu'elles entraient dans un cimetière qu'elles avaient elles-mêmes créé. Le gouverneur Romain Varus, trompé par le rusé Arminius, a entraîné ses trois légions dans un cauchemar de boue, de pluie et d'embuscades incessantes.


Pendant trois jours, les meilleurs guerriers de Rome ont été massacrés au milieu des arbres qui ont assisté en silence à la scène. Les boucliers se sont brisés, les centurions ont été traînés dans les broussailles et les formations, avant si disciplinées, se sont effondrées dans le chaos.


Arminius avait été formé par Rome avant de se retourner contre eux, utilisant leurs propres tactiques pour les détruire. Une leçon ? 


Ne pars jamais du principe que la loyauté est pour toujours. Un allié de confiance aujourd'hui peut devenir un ennemi redoutable demain.


La catastrophe d'Arausio (105 av. J.-C.) – Une leçon d'unité


Quand les deux chefs romains, Caepio et Maximus, ont croisé les Cimbres et les Germains à Arausio, ils avaient tout pour réussir. sauf la coopération. Caepio, un noble, n'aimait pas Maximus, un gars de moins bonne origine. Leur arrogance les a poussés à déployer leurs armées séparément, sans se soucier des stratégies des autres.


Le résultat ? Les Cimbres, avec leurs cris de guerre et leur carrure imposante, ont ont anéanti les forces Romain, tuant jusqu'à 80 000 hommes. C'était l'une des pires catastrophes de Rome, pas à cause d'un manque de force, mais à cause d'un manque d'unité.


D'après certains comptes, Caepio, au lieu d'apporter son assistance à son co-commandant, a campé avec ses chariots de butin ! Et tu te demandes pourquoi Rome a pris une raclée ? 


Un royaume divisé contre lui-même ne tiendra pas.


La bataille des Vosges (58 av. J.-C.) – L'art de la guerre psychologique


Arioviste, le redoutable roi germanique, voulait conquérir les Gaulois. César, toujours stratège, savait que la force brute seule ne suffirait pas à gagner la bataille, mais que la peur le ferait.


Avant la bataille, des rumeurs ont circulé parmi les rangs romains, disant que les Germains étaient des géants, insensibles à la douleur, qui buvaient le sang de leurs ennemis. La peur a pris les soldats jusqu'à ce que César, qui savait l'importance du moral, fasse un discours motivant, en parlant de l'honneur de Rome et en disant que les ennemis n'étaient que des hommes.


Quand la bataille a commencé, la discipline Romain a complètement démoli les rangs germaniques. Les guerriers, qui étaient avant invincibles, ont pris la fuite, leur mythe s'est effondré.


Le pouvoir de l' peur et le moral ne doit pas être sous-estimé ! » 


Faire le lien entre le passé et tes royaumes


Ce ne sont pas juste des histoires du passé ; ce sont des plans pour tes victoires dans Travian Kingdoms. Les astuces de nos ancêtres sont toujours d'actualité :


  • Ce sont les fortifications qui gagnent les guerres, pas les charges à l'aveuglette (Alésia).
  • choisis bien tes alliés.
  • L'unité dans le commandement est aussi importante que la force du nombre (Arausio).
  • Contrôle le moral, et tu contrôles le champ de bataille (Vosges).


Ton nom sera-t-il chanté dans la victoire ou murmuré dans le regret ?


C'est à toi de choisir le chemin vers la grandeur, mais fais-le avec sagesse. Maintenant, va t'entraîner dur, réfléchis bien à ta stratégie, et quand les tambours de guerre résonneront, j'espère que tu seras celui qui écrira l'histoire, pas juste celui qui la lit.




Tacticus, c'est fini.